Les chenilles du désert

Sa montre digitale affichait huits heures trente cinq. Cela signifiait que l'assaut sur la base de New Edward devait être en cour, peut être même terminé.
Confortablement installé, les jambes croisées, à l'arrière de sa jeep personnelle le Colonel de Montcalm voyait les étendus de la République Démocratique du Congo défilé devant ses yeux vert émeraude. Il bailla négligeamment, sans même prendre la peine de mettre une main devant sa bouche. Il se fichait pas mal de sa tenu devant ses hommes. Après plus de cinqs heures aucour desquels la Septième Armée Blindée avait engloutie les kilomètres, tous le monde avait mit le protocole militaire au vestiaire.
Passant une main dans ses cheveux bruns mi-longs, Montcalm songea qu'une pose ne ferait pas de mal aux hommes et aux véhicules. Car même si les chenilles mordaient bien la croute poussièreuse de la savane africaine, le sable et la chaleur avaient le don d'épuiser les Hommes et le matériel. Se redressant, il s'adressa au conducteur:

-"A quelle distance somme nous du prochain village?
-Environ trente kilomètre mon Colonel. Mais il est for possible que nous y rencontrions une patrouille ennemie. Nous n'avons dépassé le front que de quelques kilomètres et la base du lac Victoiria est toute proche.
-Je sais, demandé au Capitaine Toutmisha commandant la brigade africaine s'il n'as pas une idée."

Le co-pilote enclencha l'appareil de transmission relayant tous les véhicules de la colonne et entra en liaison avec le VAB de commandemant africain.

-"Monsieur, le Capitaine Toutmisha signale que nous ne somme qu'à trois kilomètres d'une oasis se trouvant sur la piste. Il suggère que nous y fassions une halte
-Bonne idée, nous allons nous y arrêter."

Une demi-heures plus tard, la Septième armée Blindé et ses alliées avaient pris possetions de l'oasis sans rencontré une seule patrouille de ZAFT.
Immédiatement, Montaclm décida d'envoyer une patrouille reconaitre le terrains en direction du village. Suivant les recommandatons du Capitaine Toutmisha il le laissa en prendre la direction et autorisa tous les volontaires à y prendre part.

A plusieurs kilomètres au Nord, le village de Wabagdigo était en effet occupé par une patrouille de ZAFT...Une vingtaine de véhicules escortés par quelques Mobiles Suits tenaient les deux cents habitants et leur habitations (une centaine) dans une mains de fer.

Depuis son poste de commandement, Montcalm attendait des nouvelles de la patrouille.

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