Attaque sur Mogadishu

L'aube se levait sur la tranquille citée de Mogadishu. Les rayons du soleil commençaient à peine à s'écraser sur les grands buildings du centre ville que la température passa en quelques minutes la barre des vingts degrés Celcius.
Partie d'un tous petit village de pécheur, Mogadishu était rapidement devenue une des plus importante ville portuaire de toute l'Afrique de l'Est.
Tombée dès le dix-huitième siècle sous la coupe des puissances coloniales, la citée n'avait céssée de régresser à partir de la guerre d'indépendance jusqu'aux dramatiques affrontement inter-clans ammorcés au vingtième siècle.
C'est peux après la création de la Fédération Atlantique que la paix revint sur le pays bien que celui-ci demeura sous la coupe militaire de cette dernière.
Lorsque la guerre éclata, les Forces Fédérales Terrienes abandonnèrent le pays et sa capitale à ZAFT. Trop heureux d'avoir fait mains basse sur le pays sans avoir à combatre, le Haut Conseil des PLANTS décida de se montrer juste envers la population qui les avait acqueillie en libérateur.
Fort du soutient de la population, ZAFT se contenta d'utiliser le pays comme base opérationnelle et laissa son gouvernement le diriger à sa façon. Cette politique permis au pays de s'enrichir et aux villes de prospérer.
Il n'était que sept heures du matin, mais une atmosphère fièvreuse agitait déjà la citée. C'était en tous cas ce que constatait le colonel Alexandra Dithis depuis la coline d'où elle et ses troupes surplombaient la ville.
A la tête du grouppe d'armée A, Alexandra s'était emparé sans trop de perte des villes de Chisimayu et de Merca plus au sud. A présent, elle visait Mogadishu, la capitale même du pays tandis que le grouppe d'armée B prenait position à Merca. Elle se doutait bien que ZAFT ne l'entendait pas de cette oreille mais aucune résistance sérieuse ne s'était présentée jusqu'à présent.
Grace à ses jumelles, Alexandra constata que l'agitation qui régnait en ville était due à sa présence au sommet de cette colline avec ses soldats.

*Nous sommes repérés apparament*

Avant de lancé l'assaut, elle préférait néanmoins s'assurer de la situation.
Elle chercha des yeux son second:

"Envoyez trois hélicoptère au dessus de la ville afin d'effectuer une reconnaissance."

Quelques instant plus tard trois hélicoptères, deux légers encadrans un lourd, passèrent au dessus de sa tête pour aller planer planés dans le ciel de la citée.
Lorsque soudain un tir de roquettes ou de missilles, Alexandra ne put le déterminer, frappa de plein fouet l'hélicoptère du centre qui alla s'écraser en plein centre ville. Sa chute fut accompagné d'un terrible bruit de métal déchiqueté et de cris d'effrois
Et alors même que les deux autres appareils s'apprétaient à rompre la formation et à se retirer, deux tirs lasers les désintégrèrent en plein ciel, ne laissant que quelques débris percutés le sol...
De ses jumelles, Alexandra détermina l'origine des tirs: le quartiers des buildings.
Se retournant, elle intima l'odre à ses chars et à son artillerie de faire feux à volontés dans cette direction...