Je me réveilla subitement. Où étais-je ? je ne le savais pas, j'étais sur mon lit, certe, mais cette pièce m'était inconnue. Je regarda à droite puis à gauche, une armoire, un miroir et une petite table, voila les seuls meubles qu'il y avait dans cette pièce, bien entendu il y avait une porte. Cette porte, était de taille moyenne, en bois d'un brun foncé, avec une poignée coloré de couleur or. Je descendis de mon lit, et avanca en direction de cette porte. Comme je m'en doutais, celle-ci était fermée. Je tourna la poignée plusieurs fois encore, en esperant qu'il y est un moyen de l'ouvrir, après une dizaine de tour, je compris enfin que ce geste était inutile. Je m'écroula au sol, effrayé je regardais de droite à gauche, pour trouver le moindre moyen de sortir d'ici. Il y avait cette lampe, qui brillait au plafond, je leva les yeux en sa direction, et j'appercu une inscription écrite au feutre sur le plafond : " Off " avec une flèche qui pointait l'objet qui éclairait la pièce. Qu'est-ce que ça voulait dire ? je retourna lentement m'assoir sur le lit, sans quitter les yeux de cette inscription. Je commenca à verser quelques larmes de peur, et de tristesse, où étais-je ? et surtout comment étais-je arriver ici. En baissant doucement la tête, je remarqua à coté de la porte, un interupteur. Tout de suite, je comprit le message du plafond, je me dépécha d'aller à cet interupteur et de l'éteindre. La salle était maintenant sombre, je ne voyais plus rien, je tourna la tête en direction de la porte, et de la je pouvais apercevoir un crâne avec un oeil sur le front regardant en direction de l'armoire, de peur je ralluma la lumière aussitôt, tout en regardant la porte. Le reflet du crâne avait disparu, je regarda vers l'armoire, et mes yeux s'arrèterent sur cette chose brillante qui était poser au dessus de cette grande armoire. Rien à faire, j'étais trop petit pour pouvoir l'atteindre. Je me tourna vers la table et essaya tant bien que mal de la tirer, sans vain. Elle était fixée au sol, tout comme le lit. Prudement, j'ouvris l'armoir très lentement. Un squelette me tomba dessus, je poussa un cri tout en repoussant le tas d'os qui était sur moi. Je regarda au fond de l'armoire, un petit tabouret en bois. Je le pris, le posa devant l'armoire, et d'un coup de main je pris l'objet brillant. C'était un trousseau de clé, il y avait un papier à coté, je le sentis en posant ma main dessus et le prit. Un mot :
<< La patience est un bon élément, l'impatience, quant à elle ne fait que tuer >> je n'apporta pas grande importance à ce message, et je regarda le trousseau. Il y avait deux clés, une plus grande que l'autre avec gravé, exit dessus, l'autre plus petite. En descendant du tabouret, je remarqua, dans l'armoire, un coffre. Pas de temps à perdre pour ça, je me dirigea en direction de la porte, mis la grande clé dans la serurre, et d'un tour, déverouilla la porte. Je me sentais déja plus rassuré, j'ouvris la porte discretement, j'entra dans une nouvelle pièce sombre. La lumière s'alluma, un homme était devant moi, une arme à feu pointée sur moi, tout en me regardant, il me dit :
<< Si tu aurais ouvert le coffre, avec la petite clé, je t'aurais laisser partir, mais comme tu as fais la même erreur que le squelette qui se trouvait dans l'armoire, je vais devoir te reserver le même sort. >> d'un coup, il tira, je ne comprit rien à ce qu'il venait de se passer, je me prit la balle en pleine tête, et m'écroula au sol, le sang qui se vidait rapidement, j'arriva à entendre les dernières choses que j'ai entendu de ma vie :
<< Je n'aime pas l'impatience >>.